The Last Kingdom, saison trois : I am Uhtred, son of Uhtred !

Comment ça, un article le samedi ? wtf ? Oui ben, j'ai envie de vous faire un petit article sur The Last Kingdom,  parce que j'ai le temps et parce que mardi, je sens que je vais vous pondre encore un pavé !

Et puis j'aime pas m'imposer des rythmes finalement. Je fais bien ce que je veux après tout. Oh, hé !

Enfin voilà, j'ai donc récemment fini la troisième saison de The Last Kingdom donc, saison que j'ai dévorée en même pas une semaine alors que j'avais mis des plombes à me lancer dedans. Ouais je sais pas, j'avais pas envie de partir au 9ème siècle, j'avais pas envie à ce moment là d'une série d'époque et quand j'y repense, je me demande bien pourquoi parce que j'ai, comme les deux précédentes, adoré !


Dans cette troisième saison donc, on retrouve Uhtred qui doit choisir son camp dans la confusion et affronter de nouveaux envahisseurs alors que la santé du roi décline, mettant en péril son rêve d'une Angleterre unie.

Dire qu'au tout début, j'ai vu en cette série une pâle copie de Vikings...! Cool, c'est tendance en ce moment les gars du nord qui trucident tout le monde sur leur passage à coups d'épée alors bon, on va pondre une énième série sur le sujet... J'étais emballée moyen moyen à l'époque et pourtant, je suis à jour, j'y suis fidèle alors que finalement j'ai laissé Vikings en plan ! Comme quoi je m'étais complètement plantée !

True Detective saison 1 : No, buddy, without me there is no you

Cette semaine je suis à jour dans mes petites séries, The Passage, Bloom, True Detective, toussatoussa à tel point que je peux me permettre de me refaire la première saison de la dernière citée.

Ah ouais, comme je vous l'ai dit dans mon précédent article, je retrouve tellement dans la troisième actuellement disponible l'ambiance que j'avais adoré dans la première qu'il fallait, oui, qu'il FALLAIT que je la revois. Et j'ai cru que ça n'allait pas être possible parce que j'ai galéré à retrouver les épisodes...


J'étais à deux doigts de me défenestrer - et vivant au rez-de-chaussée, j'aurais pu me faire très mal - quand j'ai fini par trouver des liens valables sur un site dont j'ignorais l'existence jusqu'alors. Si je croyais en dieu, j'aurai presque hurlé Alléluia.

Dans cette première saison donc - je vous rappelle qu'il s'agit ici d'une série d'anthologie, du coup les personnages et les histoires varient totalement d'une saison à une autre. Je vous rappelle également que vous pouvez zapper la deuxième, elle est pourrit - nous suivons Martin Hart et Rust Cole, deux flics qui se remémorent, au cours d'un interrogatoire, une enquête sur la mort d'une prostituée qui a commencé 17 ans plus tôt et qui a viré à l'obsession au risque de détruire leurs vies privées.

Au menu cette semaine : vikings, vampires et psychopathes

Salut la compagnie ! J'ai envie de procéder autrement sur mon blogounet et de faire à partir de maintenant un article en début de semaine sur les séries que j'ai vu les sept jours précédents et pas sur une série en particulier. Je trouve que ça permettra à plus de personnes de réagir puisqu'il y aura plus de choses différentes à commenter.

Parce que c'est vrai que si la série dont je parle ne vous parle pas, à vous, et ben je comprends que vous n'ayez pas envie de commenter. C'est le cas pour moi quand je tombe sur un article à propos d'une série dont je me bats le steak, je passe mon chemin - oui je sais, c'est pas gentil mais bon. Hein.


Et comme j'ai envie de relancer un peu cet endroit, que j'ai envie que ça échange plus et ben je trouve que c'est plutôt pas mal comme ça. Et puis vous pourrez me dire vous aussi ce que vous vous avez vu dans la semaine toussa toussa. Enfin voilà.


DIRTY JOHN

Me voici arrivée au septième épisode. Je suis tombée tout à fait au hasard sur cette série et le synopsis inspiré d'une histoire vraie m'a interpellée. Ni une ni deux je choppais le premier épisode et je dois vous dire que ce fut une bonne surprise.

Nous suivons donc ici, l'histoire d'une femme prise au piège dans une relation plus que toxique.

Tell me a Story : Qui craint le grand méchant loup ?

Salut la compagnie ! En ce jour venteux que j'ai passé majoritairement à faire la larve dans mon canapé dans mon nouveau pyjama bien chaud de chez Primark - comment ça tout le monde s'en fout, faut bien que je fasse une mise en situation - j'ai fini Tell me a Story.

Cette série, c'est une version moderne de trois contes très célèbres que sont les Trois Petits Cochons, le Petit Chaperon Rouge et Hansel & Gretel qui s'entrelacent dans le New York d'aujourd'hui.


Nous suivons donc au cours de dix épisodes les péripéties de plusieurs personnages dont la vie va être quelque peu bousculée par des drames genre braquage qui tourne mal, esprit de vengeance, relation amoureuse interdite... C'est pas tout guilleret mais c'est bien l'esprit de ces contes qui sont du genre effrayants, ponctués de morts violentes et autres joyeusetés. Parfait pour aider les mioches à s'endormir le soir n'est-ce pas ? C'est vrai, quand on y pense, c'est pas souvent très gai là d'dans.

Du coup, l'idée était plus que séduisante quoique si pas originale parce que bon, déjà, c'est une adaptation d'une série mexicaine, et puis ça rappelle un peu, beaucoup Once Upon a Time, même si là, clairement, ça s'annonce beaucoup plus sombre et moins teinté de bons sentiments cul-cul la praline...

Bellow the Surface : Prise d'otage dans le métro

Bon les enfants, après un long moment sans publier d'articles, il est temps de redonner vie à cet endroit vous ne croyez pas ? C'est que ça commence à sentir le renfermé par ici, bougez pas, j'ouvre un peu les fenêtres. Si vous me permettez une petite parenthèse avant un tout nouvel article, j'ai décidé de revoir un peu mon rythme de publication et du coup de ne plus parler des pilotes mais uniquement des séries quand je les aurais vu en entier ou quand j'aurais décidé de les stopper si elles sont pourries.
Voilà qui m'évitera double boulot, parce que mine de rien - mine de crayon, oui vous pouvez le dire - ça prend du temps à rédiger ces putains d'articles. Donc voilà.

Je signe donc mon retour avec une série que j'ai binge-watchée comme une malade en une seule journée au point de m'en avoir explosé les rétines : Below the Surface.


Nous sommes à Copenhague. Dans le métro plus précisément. La journée commence tranquillement pour tout le monde, faut aller bosser, aller en cours, la routine bien relou quoi, jusqu'au moment où des terroristes prennent en otage un groupe de quinze personnes qu'ils ne relâcheront qu'après le paiement d'une rançon.


Bon j'avoue que le sujet n'est pas très gai en cette période de fêtes mais bon, vous connaissez mes goûts maintenant ! Car oui, en plus de ne pas être bien joyeuse cette série est en plus assez voire carrément d'actualité, avec le terrorisme en toile de fond, ça touche forcément et nous immerge un peu plus dans une triste réalité, surtout après le drame tout récent de Strasbourg. Oh Oh Oh, joyeux Noël ! Oui bon.

Quatre séries, quatre fins de saisons

La semaine dernière je n'ai pas publié d'articles, que l'on m'excuse. J'ai eu des journées plutôt bien remplies au boulot aussi je n'ai pas allumé mon ordinateur pendant plusieurs jours. Flemme. Forcément j'ai pris du retard dans le visionnage de mes séries.

En ce mardi pluvieux - saleté de temps grrr - je peux vous dire que ça y est, je suis enfin à jour, j'ai vu tout ce que j'avais à voir aussi je peux vous faire un beau petit article sur les quatre séries que j'ai finies.


Chaussez vos lunettes - ou pas - il va y avoir un peu de lecture les enfants.

Alors donc je vais commencer par la série que j'ai adoré, que j'ai préférée, celle de laquelle j'ai eu du mal à sortir, oui, je commence cet article par le meilleur.

The Cry : Les joies d'être mère...

Okay, mon dernier article n'a pas soulevé les foules et déchainé les passions - oh, je m'en remettrai, snif - ce genre de séries n'étant pas du goût de tout le monde, ce que je peux comprendre.

Du coup aujourd'hui, je vais vous parler d'une petite mini-série plutôt sympathique qui pourra plaire à un plus grand nombre je pense : The Cry.

Dans une petite ville d'Australie, un bébé disparait. Commence alors pour le couple une enquête éprouvante mais aussi une exposition médiatique avec tous les soupçons que ce drame peut inspirer...


Le sujet n'est pas simple, et n'importe quel parent peut se projeter dans cette série car, même si je n'ai pas d'enfants, j'imagine aisément que voir son bébé disparaitre est la pire des choses qui puisse arriver. Ajoutez à cela le regard des gens qui jugent sans connaitre les faits et seulement sur ce qui se dit aux infos, l'enquête qui fouille les moindres recoins de votre vie, la vie de couple qui part en cacahuète et voilà, cool la vie.

J'ai beaucoup aimé ce premier épisode, je n'ai pas vu passer l'heure qu'il dure.

Y a comme un air d'Halloween sur mon blog cette semaine...

Et oui, le 31 octobre approche et ces derniers jours je me suis mise dans l'ambiance avec le visionnage de deux séries qui font peur. Enfin, qui le promettent. Et ça, pour me faire peur, c'est pas simple. Non, je me la joue pas warrior mais j'ai vu tellement de - mauvais - films dits horrifiques, d'épouvante qu'il en faut maintenant beaucoup pour me foutre la trouille - et surtout pour ne pas rire, car en général dans ce genre, ça part trop souvent bien vite en sucettes à tel point que ça devient plus risible que flippant...


Aussi je n'attendais pas grand chose de ces deux séries histoire de ne pas être déçue et je dois vous dire que hélas, la déception a été présente pour l'une des deux.

Into the Dark est donc celle qui m'a fait me demander à plusieurs reprises ce que je foutais là et pourquoi j'avais commencé à mater cette série. Vous l'avez compris, je commence donc par le moins bon, par la déception et je garde le meilleur pour la fin.